
Le jeu a été développé principalement pour des classes du cycle secondaire venant visiter l’Alimentarium. Il permet de redécouvrir le musée et de poser les bases d’une discussion sur la façon dont nous pourrions nourrir la planète aux abords d’une crise (climatique ou autre). Il aborde également la complexité interactions entre santé, bien-être et énergie. Les données de jeu sont extraites afin d’être utilisées pour une recherche universitaire.
Le jeu a d’abord été testé sous forme papier pour cerner les contours du projet et éprouver les premières mécaniques de jeu. Avec cette logique en place pouvait être engagé le travail de contextualisation et de travail graphique. Ceci pour donner au jeu du contexte, un attrait graphique, et pour le lier au musée. La thématique post-apocalyptique, qui va avec l’imaginaire d’une crise a été logiquement choisie. Nous avons modélisé en 3D chaque pièce de l’Alimentarium dans le but d’en proposer une version alternative qui varie en fonction de l’installation que le joueur y mettra. Cela s’est avéré être une très grande charge de travail. Il a fallu remplir, texturer et rendre chaque pièce avec toutes ses déclinaisons possibles. (voir la page dédiée à cette étape de travail).